Il est pourtant aisé d'être enthousiaste à la vue de ce film.
Totalement culte aux Etats Unis (il faut voir là-bas quand il y a une projection, c'est plus délirant qu'une rencontre Star Wars !), ce film est truffé de gags absurdes sous fond de musique rock et de libération sexuelle.
La créature (Rocky) est un bellâtre blondinet, homme-objet de son créateur, le transexuel de transylvannie (Sweet transvesty !...). Meat Loaf, biker qui finit en rumsteack. La zen room (ah les narguilés...). Des chansons de dingue avec chorégraphie expliquée par un paisible bibliothécaire anglais (Let's do the time trip agaaaiiin !). Et une fin tellement absurde qu'on se demande si il n'ont pas pris des acides? Et oui en effet ils en ont pris...
Enfin que de la bombe. Décidément Radneg, je t'apprécie de plus en plus. Mais je me demande si on ne se connait pas déjà ?...